25 .01 .2025

TROp pRES DU MUR

tYpHUS BROnxFR

Sam 25 .01 .2025
20:30

Dans le Cirque de Latitude 50

Durée : 1H30
Tout public à partir de 10 ans

15€
10€ Tarif réduit
1,25€ Art.27
+3€ le jour même
réservation via la billetterie

Clown caustique et impertinent.

À l’origine du spectacle, il y a Typhus qui parle à l’acteur de son désir d’enfant. Le clown voudrait un compagnon pour partager sa folitude, un être à chérir et protéger du mieux qu’il peut. Après bien des questionnements, son créateur se résout à exaucer son voeu… à sa manière. Typhus jubile, mais il sait que le temps presse. Bientôt l’acteur qui vit en lui refera surface pour le faire taire à nouveau. Mais dans ce jeu de poupées russes, qui contrôle qui ? Qui élève qui ? Le spectacle propose de sonder le lien qui unit l’acteur à son personnage. Il y a d’un côté le créateur cérébral et de l’autre sa créature organique. L’homme social face au clown sans filtre. Il y sera question d’éducation, de transmission, de garde-fous, de libre-arbitre, d’autocensure et d’oppression sociale. Mais avant tout de liberté. À bâtir ou à préserver.

Typhus Bronx apparaît sur scène, avec sa soif de tendresse et son envie de bien faire, avec sa liberté et son innocence aussi qui le rendent totalement inadapté. […] Trop près du mur interroge en réalité la norme : dans le même corps cohabitent l’acteur, être sociable, capable de raison, et le clown, être sans filtre, incapable de faire autrement que d’exercer en permanence son libre arbitre. Un spectacle intelligent, qui invite à se questionner sur son propre rapport à l’autocensure.

Mathieu Dochtermann – La Terrasse – 27 mars 2024

 

Trop près du mur

Typhus Bronx Fr

En 1ère partie
12 _14.12
20:00 _ DANS la salle

IL PaRaÎT qUE C’EST BiENTÔT La Fin DU MOnDE

Cie Lapsus Fr

Aboiements contre le refus d’abandonner, ôde à l’altruisme, hurlements pour la douceur… Ce spectacle de clownapsologie ne traite pas uniquement de la fin de notre civilisation, mais aussi des possibles débuts d’autres mondes. Une tentative de faire passer de la tor-peur de la chute à la joie de l’action. Le postulat défendu : il n’est pas indispensable de s’écraser les un.e.s les autres pour vivre décemment.