Avec A MORE, la danseuse s’appuie sur le phénomène de surinformation et questionne l’incertitude et la démesure. Elle met en scène des situations qui génèrent désorganisations, doutes ou revendications.
Ce seule-en-scène cherche à faire lire et ressentir le flux permanent d’informations et de stimulations extérieures avec lesquelles nous évoluons au quotidien. Tout cela dans une solitude plus ou moins visible, plus ou moins fragile.
Sur le plateau, la danseuse et le papier, à son état brut, transformé en cordes, en liens, avec lesquels elle invente, se débat et dialogue à la recherche d’un équilibre. Tensions, mouvements répétitifs, et impulsions physiques marquent l’exigence de la vitesse environnante….